Créer un cadre avec un moule et de l’enduit

Vous avez des tonnes de photos souvenirs dans votre tiroir et vous souhaitez les mettre dans de jolis cadres sans trop investir.  Pas de souci ! Vous pouvez créer des cadres photo autant que vous le voulez, tout simplement avec un moule et de l’enduit. L’astuce est très simple, vous n’avez qu’à mettre de l’enduit dans des moules en forme de cadre et vous avez la recette miracle qu’il vous faut. Pour personnaliser le cadre obtenu, peignez le et donner lui le style qui vous plaît.Read More

Moderniser un secrétaire avec un effet tableau

Votre meuble secrétaire ne vous plait plus parce qu’il date du siècle dernier ? Gardez-le précieusement ! Avec de l’imagination, vous pouvez le transformer en un mobilier ultra moderne, chic et esthétique. Pour métamorphoser votre meuble, vous n’avez qu’à appliquer de la peinture à effet tableau et à effet magnétique. Ainsi, votre secrétaire retrouvera son élégance. De plus, vous pouvez y écrire toutes vos notes et les effacer quand vous le voulez.Read More

Bien choisir son carrelage

Avant tout achat de carrelage, il est important de cibler vos envies en fonction de l’utilisation du revêtement. En effet, plusieurs normes sont là pour vous guider dans la sélection d’un carrelage approprié (usure, glissement, eau, etc.). Il est donc primordial de les comprendre afin de choisir le carrelage adapté à chaque pièce.

Le classement upec :

Pour faciliter le choix des particuliers, l’AFNOR (Association Française de NORmalisation), en concertation avec les fabricants, a défini un classement selon des critères de résistance du matériau aux « agressions » extérieures.
Ce classement, dit UPEC, est fondé sur quatre critères, symbolisés par quatre lettres : Usage, Poinçonnement, Eau, Chimiques.  Il s’applique à tous les revêtements de sol (parquets, plastiques, moquettes, carrelage, etc.), pour les locaux d’habitation individuels, mais aussi les établissements recevant du public (ERP), à l’exception des sols industriels. Chaque critère (donc chaque lettre) se décline ensuite par un chiffre en différents niveaux qui correspondent à la capacité de résistance du produit, ainsi qu’aux exigences auxquelles doit satisfaire la réalisation. Plus le chiffre est grand, plus le pro  duit est performant.

Réglementation sur les bruits :

Le classement UPEC a été renforcé par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) avec l’adjonction de la lettre A qui indique la conformité du revêtement à la réglementation sur les bruits d’impacts. Cette donnée prend en compte les capacités du revêtement à absorber le bruit des impacts.
Le bruit est calculé en décibels (dB). La norme française se base sur l’indice delta L et s’exprime en dB (A). La norme européenne se base sur l’indice delta Lw et est exprimée en dB.

Le classement pei : pour le carrelage émaillé :

Un carrelage est dit émaillé lorsqu’il est recouvert d’une couche d’émail afin de lui donner la couleur et l’aspect souhaités. Mais l’émail ne possède pas les mêmes caractéristiques d’usure que le carrelage. Il a donc sa propre norme de résistance : PEI (Porcelain Email Institute).

PEI 1 : Passage très faible (salle de bain)
PEI 2 : Passage peu fréquent (chambre)
PEI 3 : Passage un peu plus soutenu (couloir)
PEI 4 : Passage fréquent (cuisine, salon)
PEI 5 : Passage très soutenu (commerces)

Carnet du pro :

La norme RA 2000 fixe le bruit d’impact maximum d’un revêtement de sol à 58db.

Photographe : Julia Brechler / Bricolo Factory

Quels critères pour choisir un parquet ?

Dans le choix d’un revêtement de sol (moquette, béton, lino, carrelage, etc.), vous prendrez en compte de nombreux critères : confort, esthétique, facilité d’entretien, qualité d’insonorisation, hygiène, ou encore prix. Mais le choix d’un parquet est souvent lié d’abord à des souvenirs ou à des émotions, au côté naturel et chaleureux du bois… Voici les critères qui pourront vous aider à choisir celui qu’il vous faut.

Les principaux atouts du parquet sont connus :

  • un cachet naturel : luminosité, chaleur, élégance ;
  • une isolation thermique naturelle ;
  • pour certaines essences, une résistance à l’usure qui peut traverser les siècles.

Il faut cependant avoir à l’esprit certains désagréments possibles :

  • une pose difficile et longue, excluant toute dépose ;
  • une grande sensibilité à l’humidité ;
  • une surface susceptible de marquer facilement ;
  • un entretien délicat.

N’oubliez pas que le bois est vivant : même posé, il continue à réagir à son environnement. Ainsi, sa couleur peut varier avec le temps, et surtout, ses dimensions bougent avec l’humidité.
Ces caractéristiques différeront sensiblement selon le type de parquet, le type de pose et le type de finition que vous choisirez. Le choix d’un parquet, et de l’essence de bois le cas échéant, se fera donc en fonction de critères esthétiques, des conditions techniques de pose et d’entretien, mais aussi − très important − de l’usage prévu pour la pièce (pièce peu ou très passante) et de l’humidité ambiante.

Photographe : Marie Baillet / Bricolo Factory

Ce qu’il faut savoir avant d’installer une baignoire

Vous avez peut-être en tête la baignoire de vos rêves, mais avant de vous lancer dans l’achat ou l’installation, n’oubliez pas de prendre en  considération quelques éléments très concrets qui permettront à cet investissement de durer.

Regardez les contraintes autour de vous :

– De quel espace disposez-vous autour de la baignoire ? Un minimum de 70 cm de dégagement est nécessaire devant le côté long pour monter et descendre sans se contorsionner, voire 90 cm pour se sécher à l’aise ;

– Où sont situées les arrivées d’eau et l’évacuation auxquelles il va vous falloir raccorder l’équipement ?

– De quels types d’appareillages disposez-vous (prises, interrupteurs, lumières, chauffe-eau…) ? Seront-ils utilisables, sans danger, compatibles avec votre  nouvel équipement ?

– Quelle est la résistance de votre plancher ? À titre d’exemple, une chape de  plomb et un carrelage représentent un poids considérable au mètre carré : en cas de doute, consultez absolument un architecte ;

– Les niveaux de pression et de débit, le diamètre des tuyaux seront-ils suffisants pour assurer le fonctionnement de votre baignoire, notamment si vous optez pour la balnéothérapie ? – Disposez-vous d’une ventilation, est-elle efficace ?

A vous de bien étudier votre situation, qui est unique, afin de ne négliger aucun détail important et de bien anticiper les éventuels aménagements nécessités par l’installation de votre baignoire.

Utilisation de l’espace :

La hauteur de la baignoire est un paramètre important puisqu’il permet, entre autres, de déterminer les divers « volumes » de sécurité électrique dans la salle de bains (voir en fin de chapitre).
Une baignoire standard classique mesure environ 56 cm de haut. Les  pieds, de 13 à 14,4 cm, sont réglables, à l’exception des modèles en  fonte dont les pieds fixes font partie intégrante du décor.
Si vous manquez de place, organisez au mieux votre espace, la baignoire s’y prête… Ainsi, la baignoire d’angle et la baignoire asymétrique vous permettent de gagner de l’espace pour un même  volume de remplissage. L’aménagement sous les combles est un autre cas intéressant, qui vous permet d’utiliser, avec le petit bord d’une baignoire, une partie de l’espace non habitable en soupente.

Carnet du pro :

La Ventilation Mécanique Contrôlé (VMC), ou tout autre système  d’extraction d’air, est obligatoire dan toutes les pièces dites « humides » : salle de bains, WC, cuisine. À défaut de pouvoir installer une VMC (par exemple si les gaines ne  passent pas), il est toujours possible  de se rabattre sur des extracteurs autonomes.

Geste vert :

Pour détartrer votre baignoire, utilisez des produits naturels : étalez du gros sel en couches épaisses sur les taches, puis arrosez de vinaigre d’alcool (ou vinaigre blanc) bouillant.
Terminez en frottant avec le coté grattoir d’une éponge. Si nécessaire, renouvelez l’opération.

Chaude et humide, la salle de bais peut parfaitement accueillir certaine plantes : extravagantes comme les fougères d’intérieur, les tillandsias roses ou violets, ou encore les crontons aux belles feuilles peintes ; épurées comme les fleurs blanches de l’anthurium ; exotiques comme le petit palmier kentia.

Crédit photo : Espace Aubade

Comment choisir sa peinture ?

Le choix de peintures existantes sur le marché est aujourd’hui immense, et ce, quels que soient le support et le type de pièce à peindre. Voici  quelques éléments à connaître avant de vous laisser  tenter, notamment sur leur composition, leur type (acrylique, glycéro, époxy, polyuréthane…) ou encore leurs propriétés (hydrofuge, fongicide…). Vous aurez toutes les clés en main pour bien peindre !Read More